Nous nous dirigeons vers le sud en remontant l’Allier. Contrairement à Jules César et Vercingetorix qui, chacun sur une rive, remontaient vers le Nord en le descendant, jusqu’au moment où le chef gaulois prit position à Gergovie…
Ici, il n’est plus question de guerre.
Nous avons eu du mal à traverser l’Allier. Mais à vélo ça finit toujours par passer !
Suivre la vallée, ça va. C’est quand il faut la quitter que ça devient plus compliqué.
Nous grimpons assez facilement dans un premier temps, en traversant de jolis hameaux.
Celui de Pébrac est placé sous la protection de Pierre de Chavanon, dont la statue a été réalisée à la tronçonneuse par un artisan local à l’occasion du millénaire de sa naissance.
Mais peu à peu la pente s’accentue…
Nous finissons par atteindre le col qui nous fait franchir la montagne de la Margeride. Treize kilomètres parcourus en deux heures !
Mais les treize kilomètres de descente sur Malzieu-ville sont avalés en trente minutes, tout en prenant le temps de nous arrêter pour quelques photos.
Le soir de l’arrivée, pas de restes à cuisiner. Mais Poë mange son premier tripoux et Catherine se fait servir un mega rosé pour cause de fin de cubi, dixit la serveuse.
Nous sommes ici au cœur du Gevaudan, témoin cette reconstitution où toutes les interprétations sont possibles.
C’est dans cette belle ville fortifiée que, pour nous remettre de la Margeride, nous passons une nouvelle journée de repos.
A votre âge, il etait temps de voir le loup!!!
Bon voyage à vous deux
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Allez, on vous suit ! On monte les côtes avec vous, on attaque les descentes, on pédale et on freine pour vous, avec vous! Bon vent !
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